Sur un train : on perd de l'énergie avec les frottements de l'air et au freinage, donc ça dépend de la vitesse (et de quand/comment on freine). Les frottements pour un train sont quasiment négligeables, surtout à faible vitesse.

Sur un avion : pareil, sauf que l'avion doit rester en l'air grâce aux frottements, qui correspondent donc au moins à la force nécessaire pour compenser la gravité. Soit une accélération de 10m^-2 en continu.

Intuitivement (sans que je soit capable de le prouver), j'aurais tendance à dire que pour un train et un avion roulant à la même vitesse (pour schématiser) et à la même distance, la différence d'énergie doit s'approcher de ces 10m^-2.