Je considère qu'il y a un peu un angle mort de l'esprit critique. C'est difficile de formuler un point de vue critique sans passer pour un réac. Par exemple, la question du suivi psy, de la médicalisation du corps et des "causes de la dysphorie" C'est dur d'évoquer l'angle de la dysphorie comme conséquence logique et prévisible d'une société qui voit très mal la déviance aux normes de genre sans se faire traiter de terf. Mais sinon, aucun problème avec les personnes trans en soi, par contre l'idéologie derrière le pose problème. Affirmer que les gens sont attirés par le genre et pas le sexe, c'est atteinter aux Victoires des homosexuels. Et le on de représentation qui fait que les gens imaginent une femme trans dès qu'on parle de transidentite alors qu'il me semble que les mecs trans sont en majorités.

Ah et le fait que on ne puisse pas parler de socialisation aussi.